16 décembre 2007

Publier un document PDF va rapporter de l'argent avec les pubs fournies par Yahoo

La publicité s'immisce vraiment partout. Les fichiers PDF (Portable Document Format) vont pouvoir embarquer de la pub sous la forme de blocs statiques de texte ou d'images. C'est en tout cas ce que proposent Adobe et Yahoo! avec leur offre Ads for Adobe PDF Powered by Yahoo.

Adobe, le concepteur du format PDF et du logiciel Acrobat qui permet de créer des fichiers compressés, va permettre aux rédacteurs d'insérer des pubs dans leurs documents via son site Web.

Yahoo!, de son côté, va mettre à la disposition des annonceurs un espace sur son système de self-service d'annonces pour acheter des espaces sur un panel de fichiers PDF, qui pourront être lus avec Acrobat ou le Viewer gratuit d'Adobe.

La procédure passe par un portail Adobe/Yahoo sur lequel l'éditeur intéressé par le service dépose son fichier PDF sur lequel il accepte d'afficher de la pub. Le fichier, s'il est retenu, est reconditionné pour accueillir les pubs. Ces dernières y seront placées dynamiquement lors du téléchargement par le visiteur du site de l'éditeur ou sur lequel il est proposé.

Les processus sont encore quelque peu contraignants, mais Adobe comme Yahoo! évoquent une simplification, en particulier par la fourniture d'API qui permettront de l'automatiser. Adobe évoque même l'intégration de ces fonctionnalités dans les prochaines versions de ses programmes de création de fichiers au format PDF.

Le service est gratuit pour l'éditeur. Les revenus générés par la publicité seront partagés entre Adobe, Yahoo! et l'éditeur.

L'offre est prise très au sérieux par les éditeurs américains, qui y voient un moyen de monétiser des documents au format PDF, qui sont généralement proposés gratuitement. Ils se sont emparés de l'initiative, bien qu'elle ne soit encore disponible qu'en bêta.

Le succès du projet dépendra bien évidemment de l'accueil que leur réserveront les annonceurs. Mais certains d'entre eux y voient déjà un nouveau canal pour afficher leurs pubs. Il dépendra également du niveau de contrôle qui sera laissé aux éditeurs... Actuellement il reste limité à l'acceptation du Top200 des URL des principaux annonceurs de Yahoo!.

Pour le moment, la bêta de Ads for Adobe PDF Powered by Yahoo reste exclusivement réservée aux réseaux américains de Yahoo! , et en anglais. Rien n'indique en revanche que d'autres réseaux de publicité ne s'invitent, plus tard, sur le service d'Adobe. On pense bien évidemment à Google !

La publicité s'immisce vraiment partout. Les fichiers PDF vont pouvoir embarquer de la pub sous la forme de blocs statiques de texte ou d'images. C'est en tout cas ce que proposent Adobe et Yahoo! .

Adobe, le concepteur du format PDF et du logiciel Acrobat qui permet de créer des fichiers compressés, va permettre aux rédacteurs d'insérer des pubs dans leurs documents via son site Web.

Yahoo!, de son côté, va mettre à la disposition des annonceurs un espace sur son système de self-service d'annonces pour acheter des espaces sur un panel de fichiers PDF, qui pourront être lus avec Acrobat ou le Viewer gratuit d'Adobe.

La procédure passe par un portail Adobe/Yahoo sur lequel l'éditeur intéressé par le service dépose son fichier PDF sur lequel il accepte d'afficher de la pub. Le fichier, s'il est retenu, est reconditionné pour accueillir les pubs. Ces dernières y seront placées dynamiquement lors du téléchargement par le visiteur du site de l'éditeur ou sur lequel il est proposé.

Les processus sont encore quelque peu contraignants, mais Adobe comme Yahoo! évoquent une simplification, en particulier par la fourniture d'API qui permettront de l'automatiser. Adobe évoque même l'intégration de ces fonctionnalités dans les prochaines versions de ses programmes de création de fichiers au format PDF.

Le service est gratuit pour l'éditeur. Les revenus générés par la publicité seront partagés entre Adobe, Yahoo! et l'éditeur.

L'offre est prise très au sérieux par les éditeurs américains, qui y voient un moyen de monétiser des documents au format PDF, qui sont généralement proposés gratuitement. Ils se sont emparés de l'initiative, bien qu'elle ne soit encore disponible qu'en bêta.

Le succès du projet dépendra bien évidemment de l'accueil que leur réserveront les annonceurs. Mais certains d'entre eux y voient déjà un nouveau canal pour afficher leurs pubs. Il dépendra également du niveau de contrôle qui sera laissé aux éditeurs... Actuellement il reste limité à l'acceptation du Top200 des URL des principaux annonceurs de Yahoo!.

Navigateurs : 125 millions d'internautes utilisent Firefox de Mozilla

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Google lance la localisation par mobile…sans GPS

03-12-2007

Selon Daily Tech, Google envisage de lancer un nouveau service : la géolocalisation sans GPS. Il suffit de disposer d’un terminal pouvant accueillir l’application Google Maps et d'une connexion haut débit mobile.

Le système de localisation est activé une fois Google Maps lancé. L’utilisateur peut disposer d’informations de lieux proches de l’endroit où il se trouve. Contrairement au GPS, la localisation peut être effectué aussi bien en extérieur qu’en intérieur.

Le nouveau service n’est pas sans susciter de craintes relatives à la sécurité des données. Google assure ne pas collecter de données personnelles destinées à être utilisées par la suite. Selon Steve Lee, responsable produit de Google maps, il est très aisé de désactiver la fonction.

Pour le moment, le système n’est pas tout à fait opérationnel. Son champ de localisation se situe dans une fourchette allant d’un quart de miles (400m) à 3 miles (près de 5 kilomètres… !). Ensuite, sa base de données n’est pas encore tout à fait prête, donc le nombre d’informations disponibles reste limité.

Il n’en reste pas moins qu' avec ce nouveau service, le tout-puissant moteur de recherche pourrait bien prendre rapidement une part dans le très gros gâteau de la géolocalisation sur mobile.
Selon une étude réalisée par Google, 85% des mobiles ne contiendraient pas de module GPS. De plus, la zone couverte par Google serait très étendue. Pour la société américaine le message est simple : le marché est à prendre. Faire de l’argent avec la géolocalisation reste plus que jamais possible. Notamment en insérant des liens publicitaires locaux.

Pour autant, la concurrence ne reste pas inactive. RIM vient de lancer un BlackBerry avec GPS. Même chose pour Nokia qui par ailleurs compte s'emparer de Navteq, un des géants de la cartographie virtuelle.